Pour ce champ, choisissez entre le type de référentiel Juridique ou IAS.
Quelle que soit la Méthode d'évaluation choisie, le traitement s'effectue pour le référentiel sélectionné. Si la génération des écritures d’écart concerne plusieurs référentiels, vous devez relancer la fonction.
Le type de pièce utilisé doit être mono-référentiel et manuel.
Lorsque la génération de la pièce d'écart est lancée, si le référentiel est à l’origine d'un référentiel automatique, les deux référentiels seront impactés au niveau de la pièce. Le type de cours utilisé pour revaloriser le référentiel automatique sera alors nécessairement celui utilisé pour le référentiel manuel d’origine.
Les montants de l’écart entre un référentiel automatique et son référentiel manuel d’origine peuvent être de sens différent (crédit ou débit). Dans ce cas, le traitement ne génère pas des écritures sur deux comptes différents, mais le référentiel automatique hérite du compte d’écart de son référentiel manuel d'origine.
Pour les deux méthodes d'évaluation, les comptes utilisés pour comptabiliser l’écart sont définis aux lignes 5, 6, 7 et 8 de la fonction Plan comptable (GESCOA) quand aucun compte d’écart n’est défini pour le compte revalorisé. Sinon, ce sont les comptes d’écart définis au niveau du compte, lignes 1, 2, 3, et 4 qui sont utilisés. Les valeurs possibles sont :
Diminution solde débiteur
Augmentation solde débiteur
Diminution solde créditeur
Augmentation solde créditeur
Remarque : Si un compte d’écart de conversion est utilisé dans les champs Compte de la fonction Comptes (GESGAC), le traitement vérifie que tous les comptes divers (lignes 5, 6, 7 et 8) sont définis. Sinon, le message d'erreur suivant est renvoyé : 'Comptes non définis'.